Pour faire cours ou faire un cours ou donner un cours, bref je prends un plaisir immense à transmettre que que l’on m’a transmis au fil des années, même blessé quand ce n’est pas « handicapant » le plaisir est intact à échanger sur un tatamis.
C’est ce qui fait la différence c’est que nous n’avons pas de but hormis d’être présent sur les tatamis, pas de compétitions, pas de coup à gagner, pas besoin de volonté à vouloir sur le 3 premières marches du podium.
En images la dernière séance du 20 février 2015